Il arrive chez moi, je suis ronde nue, j’exhibe toutes mes formes …
Il s’émerveille devant mon gros valseur, mes seins lourds et laiteux.
Une ronde nue ça le fait bander … et toi aussi non ?
Il se colle contre moi, écrase mes nibards et je sens sa bite contre mon ventre. Il fourre sa paluche dans mon moule à queue et commence à faire danser le mambo à mon bouton rose. Alors bien sûr j’ai l’entre-miches trempé et comme des fourmis dans la raie du valseur. Ses mains remontent alors vers ma paire de boites à lait qu’il met dans sa bouche histoire de me faire durcir la robinetterie à lactance. Forcément je me mets bandouiller des tétons et à avoir la boite mouille trempée comme après une bonne giboulée de Mars. J’ondule de la fesse pour lui signifier qu’il serait temps de passer à la vitesse supérieure. Pas que je sois pressée, mais j’ai de me faire fourgonner sans trop traîner !
Mate les boites à lactance de la jolie ronde nue
Comme il n’a pas l’air de comprendre, je m’accroupis devant lui, je cale mon briard sur mes talons, je lui ouvre la braguiette et commence à jouer du trombone avec monsieur Paul en pensant qu’il faudra pas que j’oublie de lui demander de me caresser le cul et d’y mettre sa langue, un truc que j’ai vu faire dans un film. D’ailleurs il a compris mes désirs le gros salaud. Avant d’éjaculer dans mon claque-merde, il me retourne brusquement, écarte mes deux lobes de cul et fourre sa langouille dans mon couloir à lentilles. J’ai comme une décharge électrique qui me parcourt tout le périné jusqu’en bas du ventre. Je recule brusquement l’arrière-TGV pour mieux sentir sa langue dans mon trou de balle …
Je vous aime tous
